28 octobre 2015

[NEWS] Capyac - Speedracer


Un beau matin, dans la belle ville d'Austin au Texas, la Funk et le Disco ont rencontré l'Improvisation et la Dance. Après quelques galipettes endiablées et une bonne dose de folie, CAPYAC vit le jour.

CAPYAC c'est un groupe dadaïste et rafraichissant qui redonne un coup de jeune à la french touch.

Aujourd'hui, ils sortent Speedracer, un morceau qui réussit l'exploit d'être planant et dansant. Comment resister à cette guitare et à ce synthé "goutte d'eau" tout droit sorti du meilleur des années 80?

Il reste néanmoins un petit regret : celui de ne pas pouvoir les voir en live. La légende raconte qu'ils réalisent des shows venus de l'espace. Mais ne boudons pas notre plaisir, quand le son va, tout va.

D'ailleurs, le son est en téléchargement gratuit toute la semaine, il serait dommage de ne pas en profiter.



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23 octobre 2015

[NEWS] Neumodel - Alphabet EP



Aujourd'hui sort le premier EP de Neumodel : Alphabet. Ce jeune groupe electro-pop est constitué d'Elias et Julien, deux parisiens de 23 ans.

L'année 2015 marque leur avènement, d'abord avec des remixes pour l'artiste polyvalente belge Natty Fensie et le producteur parisien deep-house CätCät. Ils s'emparent des platines aux soirées Holy Pepper dont le but affiché est de faire danser sans relâche leurs convives, enfin, en parallèle, ils signent sur le label Word Up de Guillaume Atlan a.k.a The Supermen Lovers. Tout cela en moins de six mois, impressionnant.

L'EP était donc en gestation depuis quelques mois. Il a pris sa forme finale et est sorti en écoute libre sur Soundcloud il y a une semaine. Neumodel a privilégié la qualité à la quantité et a révélé quatre morceaux aux productions travaillées sur lesquelles se déposent délicatement les voix de quatre chanteurs choisis avec minutie.
On ne sait pas exactement si les prods ont été écrites pour eux ou si Neumodel a fait appel à eux ultérieurement, mais l'impression qu'il nous en reste c'est que Mary H (qui avait déjà travaillé avec CätCät), Sirius Trema, Camille (oui oui) et Killian Dary font partie du groupe.

Ce n'est pas étonnant que le groupe ait fait appel a des chanteurs aux répertoires si différents car la particularité de cet EP est qu'il est inqualifiable et au fond, ce n'est pas plus mal. Les influences sont tellement multiples (confère leur mixtape Les Fondations sortie il y a 5 mois), qu'elles s'entre-mêlent pour donner à chaque morceau une identité musicale singulière tout en forgeant un son propre au groupe. Un tour de force qui mérite à lui seul beaucoup de respect.

En résumé, Neumodel est un jeune groupe moderne et généreux qui livre quatre morceaux au potentiel tubesque, et si tous les tubes pouvaient leur ressembler, on vivrait dans un chouette monde.


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Faustine

 

22 octobre 2015

[NEWS] Chløë Black - 27 Club (Fhin Flip)


Fhin est de retour, après un succès considérable le mois dernier.

Le remix de Télépopmusik ayant cumulé à ce jour pas moins de 300 000 lectures en un mois, le producteur aux yeux vairons était relativement attendu par ses nouveaux fans.

Il s'attaque aujourd'hui au titre 27 Club de l'anglaise Chløë Black, soit pour certains, l'occasion de faire deux découvertes de taille. Le titre initialement interprété par la londonienne dans un beau clip, rendait hommage à cette génération d'artistes talentueux nous ayant quitté étrangement à l'âge de 27 ans : Le club des 27.



Ce flip insuffle au titre soul une vague chill en déstructurant les vocalises de la chanteuse et en faisant rebondir les synthés, désormais reconnaissables, dès la trentième seconde. Egalement instrumentiste, le parisien apporte sa touche avec quelques accords de guitare volatiles que les puristes du genre sauront apprécier.

Elargissant ici sont terrain de jeu, Fhin démontre une fois de plus qu'il est capable de s'approprier n'importe quel titre et continue de marquer des points dans le monde de la musique électronique.



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20 octobre 2015

Bastien Keb - Dinking In The Shadow of Zizou



Il y a une vingtaine de jours sortait en digital et en vinyl sur le label One-Handed (qui compte aussi dans son écurie Mo Kolours) le premier album de Bastien Keb : Dinking in the Shadows of Zizou.

Pour la bonne nouvelle, il est disponible à prix libre sur Bandcamp et l'autre bonne nouvelle, c'est que vous allez découvrir quelque chose de nouveau, fruit d'un large mélange d'influences: de la new-orleans, un peu de funk, un peu de psychédélisme, un peu de house et surtout une grande inspiration.



Cependant LA grande question de cet album reste: pourquoi impliquer Zizou dans le titre d'un album? Apparemment la musique aurait aidé notre Zidane national dans sa jeunesse tandis que son jeu de jambe aurait inspiré Bastien Keb pendant ses après-midi-foot.



C'est donc normal qu'il soit présent même jusque sur la pochette de l'album dans un portrait libre dessiné par Lewis Heriz. Il est aussi à noter et à voir le clip de "Love Just Died Tonight" génialement barré dirigé par Giles Calahane, qui nous montre la vie d'une main en bois.



 

16 octobre 2015

AMBRØSE x ALIAT


Le 2 octobre dernier sortait un EP unique tant par son originalité que par sa délicatesse.
Le jeune groupe AMBRØSE délivre au cours de quatre titres soigneusement composés une ambiance nordique folk qu'on emmènerait bien avec nous lors d'un trip en doudoune polaire dans les hauteurs de l'Islande.




Pour accompagner l'arrivée remarquée du froid dans notre hexagone, les membres du groupe nous on fait le plaisir de sélectionner les 10 sons qui tourneront dans leurs casques cet hiver et nous permettent de découvrir un peu plus quelle est cette randonnée féline, mouvementée et charnue qu'est AMBRØSE.



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14 octobre 2015

[NEWS] Donna Missal - Keep Lying


Une voix si puissante et profonde qu'elle nous fait traverser à grande vitesse et en apnée l'Atlantique. La jeune fille dont émane cette voix, Donna Missal, vient tout juste de sortir son premier single: Keep Lying.

Pour autant, la musicienne n'est pas débutante et est une habituée de la scène. C'est sans doute pourquoi elle exécute avec une telle facilité et une telle décontraction un morceau exigeant qui pourrait bien devenir un standard de la soul américaine.



10 octobre 2015

[INTERVIEW] On a parlé album, musique et steak avec Oh Wonder.


Le 23 septembre dernier se tenait à Paris la première date hors UK du duo sensationnel Oh Wonder. C'est dans un Pop-Up du Label rempli de fans que quelques chanceux ont pu découvrir le tout premier live de Joséphine et Anthony, aka le duo qui a dévoilé une track par mois depuis un an, à l'occasion de la sortie de leur premier album.

Nous avons eu l'immense plaisir de rencontrer cette irrésistible paire de londoniens juste avant leur premier concert Parisien, mais aussi le troisième de leur très jeune existence.

Biens installés sur le mythique canapé du Pop-Up, cette mini salle de concert à la programmation avant-gardiste du 12ème arrondissement, les deux jeunes anglais se sont donnés à fond pour répondre à nos questions.

"One in a lifetime shot !"

ALIAT : Depuis quand la musique fait-elle partie de votre vie ?

Oh Wonder : (Anthony) : C’était probablement autour de mes 13 ans, quand mon oncle m’a offert ma première guitare. Il fait du blues et je tiens ça de lui. Il venait toutes les nuits dans notre maison et écrivait des chansons dans notre cuisine. Ça m’a plu de le voir et j’ai voulu essayer à mon tour.

(Joséphine) : J’ai commencé à prendre des leçons de piano à cinq ans et je suis tombée amoureuse de cet instrument, puis de beaucoup d’autres autour de mes 10 ans. C’est vers cet âge là que j’ai commencé à écrire mes premières chansons, qui étaient certainement horribles (rires). J’ai commencé à jouer sérieusement vers mes 16 ans.
Ce qui est sûr, c’est qu’on a toujours pris la musique sérieusement, pas comme un hobby, et on a toujours su que nous voulions devenir musiciens.
Nous étions déjà musiciens quand Oh Wonder est né, c’était juste un side-project.
On s’est rencontrés il y a quatre ans pendant une session d’enregistrement grâce à un ami commun. On a tout de suite été en phase, on aime les mêmes artistes, les mêmes albums… Ça a été naturel et instantané.

Quel est votre secret pour être aussi proches de vos fans ? Vous êtes très interactifs et répondez rapidement, c’est très agréable...

OW : Le fait de sortir des sons tous les mois aide à fidéliser les gens, si j’étais un fan je me sentirais récompensé. La régularité est une manière de dire “Merci de nous suivre, voilà une autre chanson.” On aimerait qu’il y ait plus d’heures dans une journée car nous recevons vraiment beaucoup de messages, des centaines par jour, donc c’est dur de répondre à tout le monde, mais c’est une responsabilité pour nous de le faire. C’est incroyable que les gens s’ouvrent autant et partagent des choses intimes comme leurs dépressions, leurs problèmes d’anxiété, de travail... C’est important pour nous de répondre et de rester connectés avec ces personnes. La musique m’a toujours aidé quand je me sentais mal, elle réconforte.

Dans une interview donnée à Noisey, vous disiez que la track "All We Do" vous est venue par hasard la veille d'un nouvel an. C'est aujourd'hui un de vos plus gros succès et elle passe aujourd'hui dans une pub télé. Comment ça s'est passé ?

OW : C’était très bizarre. Ça peut avoir l’air stupide mais c’était vraiment comme ça, c’est comme si nous avions déjà la chanson quelque part en nous et que nous l’avions juste retranscrite. J’ai commencé à jouer quelques notes au piano et ai commencé à chanter “All we do is hide away…” et c’était parti. À la fin on s’est regardé et on s’est dit : “on a une chanson !”

Après le concert, under the midnight moon.
Comme quoi, des fois c'est plus simple qu'il n'y paraît. Parlons de l'album ! On distingue désormais bien votre touche et l'ensemble est plutôt homogène au fil des tracks, était-ce volontaire ?

OW : Nous avons remarqué vers notre dixième chanson que nous commencions à avoir un style bien défini, mais pour notre deuxième album (BREAKING NEWS, ndlr), nous allons changer de style, expérimenter plus. Nous sommes très excités à l’idée de retourner en studio et de recommencer à écrire. Mais nous n’utiliserons plus le même système mensuel pour sortir nos chansons. C’était intéressant mais ça nous empêche d’écrire une vraie histoire tout au long de l’album. Nous voulons savoir ce que ça ferait d’écrire une trentaine de chansons et de choisir les meilleures.

Avez-vous l’intention de collaborer avec d’autres artistes ?

OW : On essaye de ne pas faire intervenir qui que ce soit dans le processus d’écriture. À côté de ce projet on écrit pour d’autres personnes, mais celles d’Oh Wonder ont quelque chose de plus spécial que toutes les autres. Nous avons bâti un lien particulier fondé sur une grande confiance. Si quelqu’un venait et s’imposait dans cette bulle, ce serait bizarre. Cela dit, nous aimerions beaucoup travailler avec d’autres producteurs et musiciens, en fonction de ce à quoi va ressembler le prochain album.

Oui et d'ailleurs, il y a eu énormément de remixes de vos tracks sur la toile. Quel est votre ressenti par rapport à ça ?

OW : Effectivement, il y a beaucoup de remixes. Cependant, nous n'avons pas partagé officiellement les stems (éléments séparés d'une chanson, ndlr) et il y a eu des centaines de remixes. Cela n’a pas de sens puisque nous voulons que nos chansons soient entendues exactement comme nous les avons écrites. Cela dit, il y a un remix que nous adorons, celui des parisiens Saje. Il est tellement bien ! La chanson est réinterprétée complètement différemment, c’est une entité à part, une nouvelle vie. Certainement notre remix préféré.



Y a-t-il une histoire derrière chacune de vos musiques, comme dans White Blood ?

OW : Oui, à part une ou deux, elles ont toutes une histoire. On promeut celle de White Blood car il ne s’agit pas de nous, mais de Steven, un homme incroyable.
(Joséphine) Steven vient juste de faire une conférence TED, j’étais en train de pleurer, c’était incroyable, il est génial. Toutes les chansons ont un sens spécial pour nous mais on n’en parle pas car on veut que le public puisse se les approprier et lui donner le sens qu’il veut.



On a vu des vidéos de votre premier live à Londres. Quel effet ça vous fait d’avoir un public entier reprenant vos chansons par cœur, dès votre premier live ?

OW : C’était la semaine dernière, il y avait 800 personnes, donc c’était plutôt grand. Tous nos concerts en Europe sont bookés pour plus de 500 personnes. Ce soir ce sera le plus petit concert que nous avons et allons donner, ça va être particulier. Ce sera magique d’avoir une ambiance aussi intime. Mais la salle est trop petite pour placer nos lumières, un O et un W géants, donc il va falloir les imaginer (rires) ! Quand nous reviendrons à Paris en novembre au Café de la Danse, elles y seront. C’est incroyable de voir le public et l’effet que produisent nos chansons sur les gens. On peut voir qu’ils donnent tout leur cœur quand ils reprennent nos chansons, c'est touchant, notamment parce que je fais la même chose quand je vais à des concerts.

Si vous deviez définir votre album en un mot ? 

OW : (Joséphine) Bonne question. Est-ce qu’on peut en choisir un chacun et les assembler ? Le mien serait “célébrer” (Anthony) ....… “la liberté”. Nous avons essayé pendant près de 10 ans de faire quelque chose comme cet album alors on se sent vraiment libre.

Et en une couleur ?

OW : Le violet !

Qu’écouteriez-vous si vous preniez le métro parisien chaque jour ?

OW :  (Joséphine) L’album "Solo Piano" de Chilly Gonzales est très inspirant. (Anthony) Et moi je choisirais un album de la franco-canadienne Feist.

Avez vous un endroit favoris pour prendre un café à Paris ? Et pour acheter un vinyle ?

OW : On ne s'est pas encore posé dans un café. Mais, on a mangé un incroyable STEAK (rires). Ça s'appelle Le Chenin au sud de Pigalle ! Et nous n’avons pas encore été dans un disquaire parisien. En revanche nous avons enregistré une reprise de "Lean On" dans un magasin de musique. (La boutique Home Studio, rue Victor Masse proche de Pigalle pour les intéressés, ndlr). C'était cool !

:: We found a little music shop in Paris and did an impromptu cover of Major Lazer's 'Lean On'... check it out! ::
Posted by Oh Wonder on mercredi 9 septembre 2015


Mêmes questions mais à Londres ?

OW : Il y a un endroit dans l’Est de Londres qui s’appelle Climpson & Sons, c'est très sympa. Tu peux y moudre toi même ton café avant de le boire, on vous le conseille ! Et pour le disquaire c’est le Rough Trade. (Joséphine) C’est marrant car je travaillais là-bas quand j’avais 18 ans et j’y ai beaucoup appris. J’étais la petite jeunette qui ne savait rien des groupes mythiques qu’on est censé connaître quand on fait de la musique. D’ailleurs on va bientôt à New York jouer dans un de leurs magasins, c'est dingue de se retrouver à la place des groupes que je regardais il y a quelques années !

Et pour finir, selon vous, quel est le meilleur album de tous les temps ?

OW : Notre album favori est le même, le premier album de Death Cab for Cutie !

Propos recueillis par Xénia, Valentin et Bastien.

Merci à l'équipe du Pop-Up du Label pour l'accueil 
et aux personnes de La Mission et Caroline Records 
pour avoir rendu cette rencontre possible !

Oh Wonder sera on concert au Café de la Danse à Paris le 3 novembre et annoncent déjà une troisième venue en mars 2016 !

Photo de famille

07 octobre 2015

[NEWS] Petit Prince - Deux Mille Dix



Un beau voyage sur une terre pas si inconnue que ça avec DemiTour, un morceau tout doux de Petit Prince qui signe un EP onirique et plein de nostalgie : "Deux Mille Dix" paru sur le label parisien Pain Surprises. 

Cet artiste solitaire qui évolue en marge de la folie des dancefloors a décidé de se tourner vers la musique électronique après un parcours classique en violoncelle au conservatoire, et heureusement! Car sa musique est comme un petit nuage dans lequel on pourrait se lover et s'envoler.

Cette sensation d'évasion c'est ce qu'a réussi à cerner dans le clip Ana Tortos, une jeune artiste graphiste fraîchement diplômée du Royal College of Art de Londres. Des dessins, des couleurs simples et émouvantes qui épousent avec justesse l'ambiance musicale.



Si vous aimez DemiTour, prenez le temps d'écouter l'ensemble de l'EP pour continuer la découverte au pays des rêves, et pourquoi pas trouver enfin la petite planète, le renard ou la rose qui nous dévoileraient les recettes miracles de Petit Prince!

Faustine R.




05 octobre 2015

[PREMIERE] Bordo - Million Miles Away (ft. Blest Jones)


Matt et Vincent reviennent prendre leurs quartiers sur ALIAT pour une avant-première de leur tout nouveau track.

Après le succès remarqué de leurs précédentes productions, BORDO est maintenant bien parti pour parcourir les plus belles scènes françaises. Leur titre Million Miles Away a l'originalité d'accueillir un nouveau chanteur en la personne de l'américain Blest Jones. Repéré pour ses collaborations électrisantes avec Kultur, LYAR ou Daïtshi, sa voix radiogénique procure au nouveau morceau des bordelais un aspect plus pop et inscrit désormais BORDO dans la lignée des réussites musicales 2.0 de 2015. Le duo semble bien décidé a conquérir l'hexagone et confirme une nouvelle fois à ses auditeurs qu'il fait preuve d'innovation et de modernisme.




[NEWS] Feverkin - Canteen


Feverkin, producteur downtempo bien établi, est de retour avec Canteen. Un voyage universel agrémenté d'instruments acoustiques purs comme on n'en entend plus que très rarement.
Ses compositions lancinantes et apaisantes nous emportent pour une cure revigorante à base de basses, de guitares et de cuivres dont lui seul détient le secret. Un artiste qu'il faut impérativement suivre pour la bonne santé de ses oreilles et pour la qualité des productions qu'il diffuse au fil des saisons. Sa dernière playlist concoctée pour ALIAT demeure être la bonne solution pour se laisser porter dans les tréfonds de cet artiste sans précédent.



02 octobre 2015

CAMEL POWER CLUB x ALIAT


Les deux cosmonautes du son font leur grand retour avec 'Ourson', un nouveau titre dansant et toujours aussi entêtant.

Léo et Gauthier, deux amis d'enfance, ont monté depuis presque un an le Camel Power Club. Un duo unique reflétant l'innocence de l'enfance par le biais de compositions entrainantes et chaleureuses.

Sputnik, leur premier EP quatre titres paru sur Soundcloud de manière totalement indépendante, a suscité un intérêt généralisé auprès de l'ensemble des adorateurs de musiques sans prises de tête, prônant un mode de vie paisible, juvénile et à l'abri de toutes mauvaises ondes.


A l'orée de 2015, les deux compères Bordelais dévoilaient 'Laïka'. Le public, au rendez-vous, crie au génie pour ce morceau réalisé en collaboration avec une jeune chorale d'élèves concernés par la sauvegarde de la nature et la préservation de la vie sauvage.

"If you feel like going hunting, we're gonna shoot you down."


Aujourd'hui, leur nouveau morceau 'Ourson' prend à nouveau soin de nos oreilles en câlinant nos plus tendres souvenirs et en apportant à ce doux automne une petite interlude pétillante à l'aide d'un sample old school de Son House accompagné d'une belle production instantanément addictive.


Pour couronner le tout, ils ont accepté de nous offrir une playlist regroupant un panel de leurs inspirations les plus enfouies en faisant renaître de belles pépites d'une époque que les plus jeunes d'entre nous n'ont pas eu la chance de connaître. Voilà qui est chose faite.  

Faites vous un petit plaisir en téléchargeant leur premier EP pour le prix d'une pinte en happy-hour et en suivant de près ce prometteur et attachant Camel Power Club.





 

01 octobre 2015

[NEWS] Telepopmusik - Breathe (Fhin Flip)


Découverte inattendue aujourd'hui d'un mystérieux producteur français faisant son entrée sur la toile, bien caché derrière le nom de fhin.
Son tout premier upload : un remix puissant et énergique du classique "Breathe" du trio Telepopmusik. Normal.
Si les vocalises initiales ne te paraissent pas inconnues, c'est très bon signe pour cette (fameuse) marque de shampoing, ou bien, tu as bon goût et ce titre de 2001 fait partie de tes classiques lounges.

Fhin apporte à ce langoureux morceau la dose de vitamine C qui lui manquait pour devenir un titre raffhiné à la parfaite frontière du clubbing et du chill. Gardez un oeil attentif, voire deux, sur ce projet qui promet de révéler quelques bonnes surprise dans un futur pas si lointain.



 

ALIAT